Résumé :
Jamais Cecilia n’aurait dû lire cette lettre trouvée par hasard dans le grenier. Sur l’enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : « À n’ouvrir qu’après ma mort ». La curiosité est trop forte, elle l’ouvre et le temps s’arrête… John-Paul y confesse une faute terrible dont la révélation pourrait détruire non seulement leur famille mais la vie de quelques autres. À la fois folle de colère et dévastée par ce qu’elle vient d’apprendre, Cecilia ne sait que faire : si elle se tait, la vérité va
la ronger, si elle parle, ceux qu’elle aime souffriront.
Année de parution française : Editions Le Livre de Poche (201-)
Titre original : The Husband’s Secret (2013)
Langue française – 504 pages – Sortie : 6 Avril 2016
Genres : Contemporaine
Mon Avis :
C’est grâce au club de lecture « Our PrettyBooks’ Club » que j’ai découvert ce livre, et je ne le regret pas du tout, je comprend qu’il est obtenu le « Prix des lecteurs Selection 2016 ».
Ce roman est découpé en plusieurs « parties » tout d’abord les jours de la semaines qui s’écoule, qui sont eux même divisé en chapitre consacrés à trois femmes qui ne semble avoir aucun rapport les unes avec les autres… Mais on découvre, au fur et a mesure des jours qu’un triste événement les lies sans qu’aucune d’elles en aient consciences alors que certaines se côtoient chaque jour. Chacune d’elles vient sa vie de femme, d’épouse et de mère, de façon différente avec ses propres doutes, colères et questionnements.
En lisant (en diagonal) le résumé je me suis presque attendu à un policier, mais il n’en fus rien. C’est une histoire de vie, de sentiments, de secrets qui voient le jour tandis que d’autre s’installent.
J’ai beaucoup aimé se roman qui se lis rapidement et avec une certaine avidité, surtout lorsque l’on connais le fameux secret du mari de Cécilia. ll me fus difficile de lâcher ma lecture tant je voulais connaître la vie de ses trois femmes Cécilia bien entendu mais également Rachel et Tess qui sont toute trois très touchante et attachante. Si je devais avoir un petit regret (vraiment minuscule et presque futile) c’est de ne pas avoir d’avantage « voyager », car au fond même si le récit se passe en Australie, il aurais très bien pu se passer en France, car a part le nom des villes rien n’indiquais où nous étions je n’a pas vraiment réussi à me projeter dans se sens.
Toute fois je reconnais, que Liane Moriarty a une jolie plume, chaque personnages, situation est décrite avec finesse sans trop de détail mais suffisamment pour qu’on puisse s’attacher (ou non) au personnages.
Encore merci à Pretty Book et à son club de lecture pour cette très jolie découverte.
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